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CFDT Stime des Hommes, des idées

10 janvier 2013

Elections du Comité d'Entreprise

  Un rendez-vous électoral majeur pour nous, les salariés

   

Voter pour ses représentants, c'est :

- Voter pour un syndicat qui s’engage pour le respect des salariés

- Voter pour un syndicat privilégiant l’efficacité et le résultat

 

Vous souhaitez rejoindre nos listes pour faire respecter ces valeurs et faire avancer vos droits ?

Faites vous connaître auprès de l'un de vos représentants syndicaux CFDT.

Faire partie de la CFDT c'est :

- être force de propositions constructives dans les négociations

- rester indépendants et fidèles à nos valeurs

- prendre ses responsabilités et s’engager en faveur des salariés sur le terrain au quotidien

- gérer le CE avec une vraie politique sociale

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4 mars 2011

N.A.O.. 2011.

La dernière réunion N.A.O c'est terminée hier par un tour de table sans euphorie !!!!

L'ensemble des organisations ne souhaitent signer un P.V. d'accord/ désaccord,

Y  a t'il eu seulement NEGOCIATIONS !!!

Conclusion  :

Cette année les N.A.O. se sont pas fini, et pas près de l'être.

Nous avons notés vos nombreuses remarques, et avec votre soutient nous ne signerons pas en l'état actuel un PV accord Partiel ou même un PV de  désaccord.

l'équipe CFDT de la STIME

26 janvier 2011

N.A.O. 2011

Négociation Annuelle Obligatoire 2011

Pour être entendu de la direction soutenez nos actions

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Vos idées nous intéresses

cfdt.stime@yahoo.fr

 Voici les demandes syndicales de la CFDT :

- Une augmentation calculée sur le salaire moyen de la STIME qui suit l'inflation de L'INSEE et le delta de ( l'enveloppe direction) au mérite. soit environ 80 € par personnes et par mois

- Ne plus perdre de point AGIRC ARRCO (sur l'indice de référence des points de retraite) si en 2010 mon salaire représente 1000 points qu'il ne représente pas 998 points en 2011.

- Primes sur objectif pour l’ensemble des salariés

- Mise en œuvre d’un palliatif égal à un accord d’Intéressement d’Entreprise.(idem groupe)

- Revalorisation annuelle des Astreintes de l'inflation soit 2 % cette année

- Revalorisation Annuelle des frais de Missions de l'inflation soit 2 % cette année

- Revalorisation Annuelle des indemnités kilométriques (selon le barème des Impôts)

- R.T.T. possibilité de les cumuler sur 3 mois (X 2 par an )

- Jour de Solidarité non supporté par les salariés donc OFFERT PAR L'ENTREPRISE

- Augmentation du nombre de jours de congé pour l’ancienneté  5 jours (semaine)

- Création d'un PEC Plan d'épargne congé ou peuvent être placé les congés ou RTT non utilisés.

- Prise en compte d'une indemnisation kilométrique (pilotage, personnel posté)  pour les collaborateurs n'étant pas dans la possibilité de prendre les transports en commun.

- Pratique de l'Organisation Syndicale dans l'entreprise (Moyen, M2, matériel, moyen de com vers les collaborateurs).

2 novembre 2010

L’IMPORTANCE DES ELECTIONS AU COMITE D’ENTREPRISE

L’IMPORTANCE DES ELECTIONS

Au COMITE D’ENTREPRISE

Depuis 2008, la participation au PREMIER TOUR DES ELECTIONS AU COMITE D’ENTREPRISE est devenu l’indicateur légal de la représentativité syndicale au sein d’une Entreprise.

La représentativité syndicale permet de négocier pour et avec les salariés tout ce qui touche aux conditions de travail, de salaires, et de s’assurer du respect du droit du travail et des relations humaines dans notre entreprise. Ceci est concrétisé par des accords d’entreprise comme ceux des astreintes, du temps de travail du personnel postés, non postés ; des 35 Heures, travail de nuit au SDD !!!!

Le syndicat dans l’entreprise c’est vous qui le faites :

1 –La section syndicale comporte exclusivement des salariés de l’entreprise, ce sont vos collègues que vous côtoyez tous les jours :

Cette équipe nomme des représentants validés par le Syndicat. Ceux-ci sont les interlocuteurs des salariés avec l’employeur, ils négocient vos revendications.

Les élus sur les listes font respecter vos droits, défendent vos intérêts dans les instances représentatives

2 – Les syndicats représentatifs ont un droit de regard, par l’intermédiaire des instances, sur la stratégie de l’entreprise

La représentativité au sein de l’entreprise :

Donne aux représentants des salariés des entreprises une voie délibérative au sein du conseil d’administration ou de surveillance.

Renforce le droit des salariés et de leurs élus à être informés régulièrement sur la situation et les évolutions de l’entreprise pour peser à temps sur les processus de décision.

Prévoie une formation supplémentaire réalisée par l’entreprise sur la façon dont sont élaborés les documents de l’entreprise et leurs spécificités.

Elit un membre de la section syndicale au groupe pour que la STIME soit écouté sur les stratégies et modifications qui portent sur les décisions du Groupement.

Votez au premier tour des élection est CAPITAL pour votre avenir et votre devenir au sein de notre entreprise.

VOTER LE  Jeudi 04  Novembre

1 septembre 2010

greve du 7 Septembre 2010

Dans leur communiqué commun daté du 23 août 2010, les organisations syndicales CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FSU, Solidaires et Unsa, appellent à faire du 7 septembre une journée massive de grèves et de manifestations afin de faire entendre leurs revendications et leurs propositions concernant le projet de réforme des retraites dont le contenu est injuste et inacceptable.
Après les fortes mobilisations du premier semestre, et notamment le 24 juin dernier, les multiples initiatives qui ont ponctué l’été, montrent la détermination des salariés à faire entendre leurs revendications et leurs propositions concernant le projet de réforme des retraites dont le contenu est injuste et inacceptable.
La période estivale a été marquée par la persistance de la crise économique et sociale - la situation du chômage s’aggravant encore notamment pour les jeunes - et par l’annonce de mesures de rigueur supportées essentiellement par l’ensemble des salariés. Le gouvernement poursuit une politique inadaptée en terme d’emplois et de pouvoir d’achat qui accroît les inégalités.
Au moment où le projet de réforme des retraites va être examiné par le parlement, les organisations syndicales rappellent leur ferme opposition à celui-ci. Cette réforme ne répond pas aux enjeux actuels. Les questions d’emploi notamment pour les jeunes et les seniors, celles des inégalités hommes-femmes, de la pénibilité, d’un financement durable appuyé sur une autre répartition des richesses produites, non seulement ne sont pas traitées, mais font porter à plus de 85% les efforts sur les salariés.
La remise en cause des 60 ans avec le report à  62 et 67 ans des âges légaux va fortement pénaliser les salariés et notamment ceux ayant commencé à travailler jeunes, ceux ayant des carrières chaotiques et incomplètes, en particulier les femmes.
Les organisations syndicales considèrent aujourd’hui que rien n’est joué et appellent tous les salariés du privé et du public, les demandeurs d’emploi, les jeunes et les retraités à poursuivre la construction d’une mobilisation de grande ampleur et à faire du 7 septembre prochain une journée massive de grèves et de manifestations.
Le gouvernement et les parlementaires doivent entendre la mobilisation des salariés et répondre à leurs revendications pour d’autres choix en matière de retraites, d’emploi et de pouvoir d’achat. Les organisations syndicales se réuniront dès le 8 septembre pour analyser la situation et décider des suites unitaires à donner rapidement à la mobilisation.

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18 juin 2010

APPEL A LA MANIFESTATION DU 24 JUIN 2010

18 juin 2010

François Chérèque : «Cette réforme est une provocation»

INTERVIEW - François Chérèque, le secrétaire général de la CFDT, a livré en exclusivité au Figaro son appréciation sur la réforme des retraites dévoilée ce matin par Éric Woerth.

LE FIGARO.- Que pensez-vous de cet avant-projet de loi ?

François CHÉRÈQUE.- C'est une réforme injuste et à court terme, quasiment une provocation. 85 % de l'effort est supporté par les seuls salariés via le passage à 62 ans et le relèvement des taux de cotisations des fonctionnaires. Le gouvernement justifie cette réforme par la crise qui a gonflé les besoins de financement mais il fait payer l'addition aux seuls salariés car il refuse de toucher aux hauts revenus et du capital. Cette réforme ne résout rien en outre à moyen terme car elle n'est équilibrée qu'en 2018. Ni avant car les déficits continueront à exister, ni après car le problème financier reste entier au-delà.
Au final, cette réforme est un mauvais coup pour toutes les générations et ce sont les jeunes qui vont payer la note. Elle marque en outre une vraie rupture à 2003. On est passé d'une réforme basée sur la durée de cotisation avec prise en compte de l'espérance de vie à la retraite à une réforme basée sur l'âge sans prise en compte de l'espérance de vie.

La réforme est-elle bouclée financièrement selon vous ?

Non. Les déficits d'ici 2018 sont financés par le Fonds de réserve des retraites (FRR). Je rappelle en passant que ce FRR avait été créé pour que le poids des départs en retraite des baby-boomers soit moins lourd à porter pour les générations nées dans les années 1960 et 1970 - une façon d'atténuer le fait que les générations précédentes n'ont pas pris leurs responsabilités. Or le problème reste entier après 2018 car le choc démographique sera toujours là. Il n'est de plus pas question de transférer des cotisations d'assurance-chômage vers l'assurance-vieillesse. On ne peut pas prévoir un financement du système en se basant sur une hypothèse de retour à l'équilibre des comptes de l'Unedic en 2015. Rien ne dit que ce sera le cas, d'autant plus que la réforme va faire augmenter le nombre de demandeurs d'emploi de plus de 60 ans. Je remarque en outre que cette réforme ne propose rien sur l'emploi. Au final, le gouvernement fait de la cavalerie en creusant un déficit pour en combler un autre.

N'avez-vous pas échappé au «pire»: un âge légal à 63 ans ?

On a vu venir la campagne de communication, entre un premier ministre dur et un président de la république gentil. C'était trop gros, personne n'est tombé dans le panneau.

Le gouvernement juge le relèvement du taux de cotisation dans la fonction publique «indolore». Partagez-vous cet avis ?

Une augmentation de 0.27 % par an sur 10 ans, c'est quand même raide. C'est une sorte de double peine en matière de pouvoir d'achat pour les fonctionnaires. Non seulement leurs salaires n'augmentent plus mais on va leur prélever des cotisations supplémentaires qui vont peser sur leur pouvoir d'achat.

Allez-vous rechercher un compromis avec le gouvernement pour atténuer le choc de cette réforme ?

Je considère qu'avec 85 % de la réforme financée par les seuls salariés, il n'y a pas grand chose à grignoter. Je vais d'abord reposer la question d'une réforme systémique et lui présenter le contenu de la réforme qui a été validée par les militants de la CFDT la semaine dernière en congrès. Une réforme qui vise à réduire les inégalités, basée sur l'allongement de la durée de cotisation et qui prend en compte la pénibilité, les carrières longues, la situation des femmes, et les polypensionnés. Je lui ferai des propositions alternatives. Les conséquences de la crise doivent être prises en compte par la fiscalité. Franchement, relever de 1 % seulement la tranche supérieure d'imposition sur le revenu, les bras m'en tombent. Je m'attendais à un peu plus de sérieux du gouvernement sur cette question mais le choix a été fait de ne pas toucher aux hauts revenus. 1 %, c'est ridicule et les gens vont s'en rendre compte.

Que pensez-vous du dispositif «pénibilité» proposé ?

C'est une usine à gaz vide qui crée de nouvelles injustices parce qu'elle ne résout rien. En matière de pénibilité, tout reste à faire. Le gouvernement a ce dossier entre les mains depuis 2007. Tant Xavier Bertrand que Brice Hortefeux et Xavier Darcos n'ont rien fait. La CFDT va remettre en chantier sa proposition d'une année de bonification de cotisation pour dix années d'exposition dans un métier pénible. Je remarque de surcroît que le texte d'Éric Woerth ne propose rien sur les polypensionnés alors que le gouvernement s'était engagé à apporter des solutions.

Aucune mesure ne trouve donc grâce à vos yeux ?

Difficilement car il s'agit d'un projet d'ensemble. Chaque salarié va maintenant pouvoir calculer ce qu'il en sera pour sa propre retraite. Et ça va être un choc. Ca ne changera rien pour ceux qui ont fait des études et ont eu des carrières complètes valorisées. Mais ça changera pour tous les autres. On voit bien que le gouvernement a voulu protéger les carrières longues chères à la CFDT en le maintenant et en l'élargissant à ceux qui ont commencé à travailler à 17 ans. Mais pourquoi avoir poussé à 43 ans de cotisation pour en bénéficier alors qu'on aurait pu rester à 42 ans ?

Il n'y a que cette demi-mesure qui pourrait trouver grâce à mes yeux si on y incluait ceux qui ont commencé à 18 ans qui sont condamnés à cotiser 44 ans.

Vous serez ce soir en direct dans le journal de 20 heures de France 2 avec Bernard Thibault. Éric Woerth doit-il y voir un message et une mise en garde ?

On y va ensemble parce qu'on nous a invités ensemble. Cela veut dire qu'on a des éléments communs de désaccord pour contrer cette réforme.

17 juin 2010

REFORME DES RETRAITES : Cherche l'erreur

La Finance boit la tasse, les salariés trinquent. Le gouvernement français veut démontrer à la finance internationale qu'il peut réformer en faisant payer la casse aux salariés.

Les haut revenus et les financiers sont peu mis à contribution :

Un couple avec deux enfants disposant d'un revenu de 20.000 € net par mois sera imposé de 25 € supplémentaires.

Les banques bénéficierons toujours de la "niche COPPE" qui exonère les banques sur les plus valus immobilière inférieur à 2 ans (9 milliards € par an).

Dividende du CAC 40 : 77 milliards € en 2010 (8 % du PIB) il y a dix ans les dividende représentait 3 % du PIB,

Vous pouvez consulter la synthèse du gouvernement :

16_juin_2010_SyntheseReformeDesRetraites

10 mai 2010

Règle du dixième congés payés

Règle du dixième congés payés

 

Ce que dit la loi

Art. L. 223-11

(Ord. no 82-41, 16 janv. 1982).-« L'indemnité afférente au congé prévu par l'article L. 223-2 est égale au dixième de la rémunération totale perçue par le salarié au cours de la période de référence. » Pour la détermination de la rémunération totale, il est tenu compte de l'indemnité de congé de l'année précédente, ( L. no 76-657, 16 juin 1976) « ainsi que des indemnités afférentes au repos compensateur prévues par l'article L. 212-5-1 du présent code et par l'article 993-1 du Code Rural » et les périodes assimilées à un temps de travail par l'article L. 223-4 sont considérées comme ayant donné lieu à rémunération en fonction de l'horaire de travail de l'établissement.
Lorsque la durée du congé est différente de celle qui est prévue à l'article L. 223-2, l'indemnité est calculée selon les règles fixées ci-dessus et proportionnellement à la durée du congé effectivement dû.
Toutefois, l'indemnité prévue par les deux alinéas précédents ne peut être inférieure au montant de la rémunération qui aurait été perçue pendant la période de congé si le salarié avait continué à travailler, cette rémunération étant, sous réserve de l'observation des dispositions législatives et réglementaires en vigueur, calculée à raison tout à la fois du salaire gagné pendant la période précédant le congé et de la durée du travail effectif de l'établissement.
Un arrêté du ministre chargé du travail détermine les modalités d'application de cette disposition dans les professions mentionnées au premier alinéa de l'article L. 223-16.

Explications :

Exemple pour un dixième dû en août 2006 :
- prendre  les feuilles de salaire de juin 2004 à mai 2005
- faire le total des  salaires bruts
+ les primes d’astreintes
+ les heures supplémentaires et  TEA
+ les primes de projet
+ toutes primes basées sur le travail  effectué (primes de panier, primes pour résultat …
+ le dixième  éventuellement versé durant cette période (vers août/septembre 2004)

-  diviser ce total par 10

- le montant calculé est la somme (minimum) qui doit servir à payer vos congés légaux du 1er juin 2005 au 31 mai 2006. En clair vous avez acquis des jours de congés en travaillant entre le 1er juin 2004 et le 31 mai 2005 et ces jours seront payés par le dixième des salaires que vous avez reçus pendant cette même période.

- Cumuler les sommes valorisant vos congés légaux pris entre le 1er juin 2005 et le 31 mai 2006 apparaissant dans les feuilles de paie de juillet 2005 à juin 2006 (les congés pris un mois ne sont décomptés sur la feuille de paie du mois n+1) à concurrence du nombre de jours légaux (les jours d’ancienneté ne doivent pas être pris en compte)  acquis pendant la période de référence (juin 2004 à mai 2005).

-  Comparer le dixième calculé précédemment à ce cumul des paiements de congés : si  le dixième est supérieur au cumul congés, la différence vous est légalement  due et doit apparaître nommément sur la feuille de paie de juillet ou du  mois suivant.

23 avril 2010

PARTICIPATION 2009 : NON RECEPTION DU COURRIER DE NATEXIS

Certains d'entre vous n'ont toujours pas reçu le courrier de NATIXIS sur la répartition possible de la participation 2009.

Vous ne pouvez donc pas choisir la répartition des Plans d'épargne ou demander le déblocage des fonds.

POUR RECEVOIR LE COURRIER DE NATIXIS DANS LES DELAIS OU UNE COPIE DE CE COURRIER.

Contactez Mme Corinne PERRIER à LA D.R.H. pour régler cette situation.

LA CFDT à votre service.

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